2020 moins deux (l’autre)

Bon, à par ça, c’était une journée maussade, grise avec beaucoup de pluie le matin.

Bon, pas vraiment le temps d’écrire… Vous voyez cet arbre? Joli, j’ai pensé. Eh bien c’est la saison du grand ménage, partout, alors même au sanctuaire Hirano où je suis passé, on fait le ménage.

C’était en fin d’après-midi, avant la glace quotidienne dans Gion. Je le vois, je me dis, oh, voilà Totoro, je vais faire une photo en 7 mm, de pied. Alors je m’étends sur le parterre en bois qui l’entoure à la base et je fais quelques photos. Je sens un peu d’humidité, c’est normal, il a beaucoup plu ce matin.

Alors que je vais retrouver mon vélo, une horrible odeur me poursuit. Du grésil. J’ai mis un bon moment à comprendre que ça venait de mon jeans. Le grésil, c’est un extraordinaire répulsif contre le chats, c’est aussi un super désinfectant, le truc idéal quand on fait le grand ménage dans un sanctuaire.

Je ne sais pas si je vais récupérer mon jeans, je vais l’aérer, et puis sinon, ben il faudra le jeter.

Vous subirez donc cette photographie qui me coûte un jeans, un tee-shirt, un pull et mes sous-vêtements Heat-Tech, à moins que je ne parvienne à éliminer cette odeur épouvantable qui depuis une heure a provoqué un nez qui coule et le nez qui gratte…

Bon, à par ça, c’était une journée maussade, grise avec beaucoup de pluie le matin.

Je confirme un vieux sujet sur Facebook avec Romain qui habite à Kyôto. Les taxis sont ici de vrais chauffards, ils brûlent les feux rouges…


Commentaires

2 réponses à “2020 moins deux (l’autre)”

  1. Au moins, les taxis arrivent à avancer.
    Ici Paris, même au feu vert, trop d’embouteillages pour avancer

  2. Au moins, les taxis arrivent à avancer.
    Ici Paris, même au feu vert, trop d’embouteillages pour avancer

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